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J’ai testé : comment « La magie du rangement » de Marie Kondo a amélioré ma vie

9 janvier 2019

Actuellement, on parle de nouveau beaucoup de Marie Kondo à cause de la série Netflix liée (voir mon article sur mes premières mauvaises impressions), mais dans cet article, oubliez-la, car elle est extrêmement mauvaise et ne vous apportera pas grand chose.

Pour ceux qui ne savent pas encore, Marie Kondo est une japonaise, passionnée d’art de vivre. Consultante en la matière au Japon, elle a écrit une méthode, la méthode Konmari (de son surnom), qui a conquis le reste du monde et demeure un best-seller.  La méthode de Marie Kondo a des millions d’adeptes dans le monde et compte plus d’ 1 million d’abonnés sur Instagram. Il suffit de taper « KonMari » dans YouTube pour voir pulluler les vidéos sur le sujet. La Magie du Rangement s’est vendu à plus de 3 millions d’exemplaires et Marie Kondo a été classée dans le top 100 des « personnes les plus influentes » du Time en 2015.

Et cela, c’est parce que sa méthode marche, elle rend plus heureux. Rappelez-vous en quand vous lirez la suite de mon article en vous disant « oh merde, je serai jamais capable de jeter ça! »

 

J’ai acheté le bouquin en 2016, avec ce petit feeling qui me disait que ça allait m’apporter quelque chose de concret. La Magie du Rangement de Marie Kondo, n’est pas un livre pour ménagère désespérée. C’est un livre pour tous, c’est un livre de vie. Il ne vous apprend pas à faire le ménage chez vous mais surtout à vous créer un environnement dans lequel vous serez plus heureux et à comprendre pourquoi. Cette composante du bien-être est largement méconnue dans notre société speed. Avez-vous déjà eu la chance de remarquer comme on se sent bien une fois le bazar éliminé? Ou, allons plus loin, comme on se sent nouveau, avec un regain d’énergie et d’appétit pour la vie, quand on a soi-même fait le grand ménage chez soi ? C’est la base de ce livre :

jeter, ranger, pour renaître et se sentir mieux

Il ne s’agit pas non plus d’avoir une maison quasi vide, type maison témoin. La maison est une carte de visite sociale, plus ou moins importante selon votre job, et votre style de vie. En recevant quelqu’un chez vous, vous montrez qui vous êtes. Et cela n’a rien à avoir avec l’argent : j’ai vu des piaules d’étudiant de 10m2 de tous styles : sympathique et propre, psycho-rigidement rangée, rangée et sale, bordélique et propre…

Je me rappelle aussi de cette créatrice de mode avec laquelle j’avais collaboré, stylée et impec sous toutes coutures (et qui postent encore aujourd’hui des insta de « sa vie » impec), qui m’avait reçue chez elle pour un briefing… dans un bazar et une saleté tellement incroyable que j’ai fait semblant de boire le verre d’eau qu’elle m’a servie depuis son évier rempli de restes depuis des jours. C’était tellement fou, que ça aurait pu être une étude psychanalytique.

« Pourquoi mon cours transforme-t-il les gens? Parce que mon approche n’est pas une simple technique. Ranger est une série d’actions élémentaires consistant à déplacer des objets d’un endroit à un autre. Il s’agit de remettre les objets là où ils doivent se trouver. Cela semble enfantin, à la portée d’un enfant de 6 ans. Et pourtant, la plupart des gens en sont incapables. Peu de temps après une séance de rangement, leur intérieur est de nouveau sens dessus dessous. Ce n’est pas un manque de compétences, mais plutôt un défaut de lucidité et une incapacité à ranger de manière efficace. Autrement dit, l’origine du problème se situe dans leur tête, car le succès est conditionné à 90% par l’état d’esprit. »

 

Ranger, c’est bon pour le moral

J’aurais été sceptique si je ne l’avais pas expérimenté un peu par hasard avant cela. Je fais partie de ces gens (une majorité qui s’ignore!) dont l’intérieur reflète l’état d’esprit. Dans des périodes déroutantes, difficiles, où j’étais paumée et me sentais sans vitalité, je me suis parfois retrouvée prise d’une frénésie de nettoyage et rangement (alors que ce n’est pas DU TOUT mon truc à la base, je suis une bordélique paresseuse…)… et après, je respirais de nouveau, je dirais même que de la place avait été faite en moi, pour voir et penser plus clairement, pour avancer de nouveau, avec une self-esteem boostée.

Pourquoi ? Parce qu’une maison en bordel est à l’image du mal-être ressenti, et crée donc un cercle infernal. Et la maison rangée impeccable offre l’environnement dans lequel on veut vraiment vivre et se sentir bien. Le provoquer, provoque le bien-être. Et c’est là la « MAGIE » du rangement.

 

« Bien que cette approche soit en contradiction avec la tradition populaire, tous ceux qui ont expérimenté la méthode KonMari sont parvenus à garder leur maison rangée et ont obtenu des résultats inattendus. Vivre dans une maison ordonnée influe de manière positive sur tous les autres aspects de votre vie, notamment professionnels et familiaux. Dans la mesure où j’ai consacré plus de 80% de ma vie à ce thème, je sais que le rangement peut transformer votre existence. Cela vous semble toujours trop beau pour être vrai? Si votre conception du rangement consiste à décider un jour de vous débarrasser des objets inutiles ou de nettoyer petit à petit votre chambre, vous avez raison: l’influence sur votre vie sera quasiment nulle. En revanche, si vous modifiez votre approche, le rangement peut avoir un impact incommensurable. « 

 

En 2016, sentant venir le bordel ultime du déménagement en Nouvelle-Zélande, le livre de Marie Kondo s’est imposé de lui-même. Bon tout le monde en parlait aussi. Mon dernier déménagement Paris intramuros avait été folklorique, alors Paris-Wellington…hum.

Aux premières pages, Marie Kondo se présente et raconte son histoire. Elle peut passer pour une psycho rapidement, évoquant son obsession pour le rangement, dès sa jeune enfance, sa recherche de la méthode infaillible, de la perfection, s’étant même fixer la règle de « jeter un objet par jour ».

APPRENDRE à JETER c’est toute l’âme du livre de Marie Kondo

Et c’est pourquoi il touche, car jeter, c’est douloureux, et presque personne ne sait le faire. Cela touche au Moi le plus profond, la peur de perdre des souvenirs, la peur de manquer, la peur de regretter, la peur d’être seul, la peur. On se rattache donc au passé. Erreur.

La peur est un sentiment, conscient ou non, qui ralentit tout le monde, et fait faire les mauvais choix (je ne parle de survie dans la forêt amazonienne hein on est d’accord). Marie Kondo nous invite a explorer une philosophie de libération. Stop la peur : on jette, on va de l’avant. Et pour savoir quoi jeter, elle propose une méthode du sentiment, qui doit être faite sincèrement pour marcher : on prend un objet dans la main, et on s’interroge sincèrement sur la joie qu’il nous fait ressentir au quotidien, et surtout à l’émotion imminente qu’on a en le manipulant. Bien sûr, cela est plein de pièges ; que faire du jouet d’enfance restés 6 ans dans un carton au garage ? Le pincement au coeur est différent de l’étincelle de joie. Marie Kondo aborde tous les cas possibles.

Je connais beaucoup de personnes qui ont les caves, greniers, garages pleine de « merdes » (c’est eux qui le disent!), qu’elles sont incapables de prendre en main à cause de la peur de jeter, le manque de courage aussi (le manque de temps n’est plus une excuse), et aussi par abandon devant l’immensité de la tâche. Cela se finit souvent en triste et problématique héritage laissés aux enfants (ce qu’avaient déjà fait les grands-parents, car le bordel en question a commencé en 1947…). Cela finit souvent avec une génération qui va tout jeter sans sentiment aucun. Triste topo hein ! Alors autant prendre sa propre merde en main et agir. La Magie du Rangement est donc aussi un livre à offrir !

Le gros déménagement Paris – Nouvelle Zélande

Heu-reu-se-ment que j’ai eu ce livre à ce moment là… Parce que ça a été un vidage épique. Je me suis débarrassée du trois quart de mes affaires, voire plus. Pendant 3 mois, j’ai vendu sur le Bon Coin, parfois de très beaux objets, mais, qui appartenait à un passé qui me retenait, et là, il s’agissait d’aller de l’avant, vers une nouvelle vie dépourvue des boulets du passé. Ou tout simplement, des objets que je trouvais super beaux/précieux/pratique mais pour lesquels je n’ai pas ressenti le fameux « sparkle of joy » de Marie Kondo.

J’ai ensuite jeté tout ce qui n’était pas donnable. Et cela a représenté des dizaines de sacs poubelle 50L. Marie Konda avait prévenu :  la méthode produirait en moyenne de 20 à 30 sacs-poubelles de 45 litres pour une personne seule et près de 70 litres pour une famille de trois personnes. J’ai ensuite trié mes fringues… Ce qui a donné une quinzaine de sacs 50L que j’ai été déposer dans une boutique de mode Emmaüs. Puis tout ce qui restait a été stocké dans un coin, maintenant vide, de l’appart, et Emmaüs est venu chercher tout ça, environ 10m3 d’affaires.

Rien n’aurait été possible si Marie Kondo ne m’avait pas appris à me séparer des objets. Et je peux le dire 2 ans après maintenant : je n’en ai regretté aucun. On peut donc lui faire confiance quand elle pousse à jeter ce qu’on ne veut pas jeter.

la magie du rangement marie kondo

Les grands principes à retenir :

Faire un grand rangement une bonne fois pour toute :

« Rangez un peu chaque jour et vous n’en finirez jamais de ranger »  Quid de ce conseil prônant d’en faire un peu chaque jour? Il semble certes convaincant, mais ne vous faites pas d’illusions. La raison pour laquelle vous n’avez jamais l’impression d’en finir tient précisément au fait que vous ne rangez qu’un peu à la fois. »

Il faut que cela soit une période franche, avec un objectif clair. Le « un peu tous les jours » ne marche pas. Pour éradiquer le désordre, on part au combat une seule et unique fois.

Faire le point sur le gaspillage

et sur les mauvaises excuses. Jeter n’est pas gaspiller. Il faut donner à des organismes ce qui est utilisable, et jeter le reste, même si c’est très personnel ou que vous-même pourriez encore l’utiliser (cette idée va vous empêcher de vous débarrasser de ce dont vous ne vouliez plus). Jetez (d’ailleurs vous pouvez jeter les vêtements dans des bennes de recyclage) et repartez de 0. Le gaspillage c’était quand vous avez acheté toutes ces choses, trop de choses. Vous consommerez différemment après ça. Vous ne gaspillerez plus. Transférez votre culpabilité sur le fait que vous gaspillez votre espace et celui de vos proches inutilement.

Se débarrasser des objets qu’on n’utilise plus depuis plus des années

elles qu’on garde en « témoignage » dans un carton, ou au cas où, ou encore parce qu’on ne sait pas quoi en faire mais que c’est en si bon état : s’ils ne sont pas utilisés, ni vus, c’est de la mauvaise foi de les garder. Débarrassez-vous de vos peurs pour profiter du présent.

« Jetez tout ce que vous n’avez pas utilisé depuis un an. En cas de doute, mettez ces objets dans un carton avec la date du jour, et rouvrez-les dans six mois. Etes-vous heureuse de retrouver ces choses consignées ? » êtes-vous prêt à les utiliser là de suite ? tous? Si c’est non, jetez-les !

Remercier sincèrement un objet avant de le jeter/donner

faire entrer la gratitude dans notre monde matériel offre un système de consommation plus sain, et une prise de conscience du rôle du matériel.

 

Ne pas garder les cadeaux…

… qui prennent de la place inutilement par culpabilité : ah jeter les cadeaux, le point faible de tout le monde. Marie Kondo préconise que la culpabilité n’a rien à faire sur vos étagères. Il faut bénir le moment où vous avez reçu ce cadeau, le temps dont vous en avez profité (s’il y en a eu 😉 ) et la personne qui vous l’a offert. Puis, s’il a juste pris la poussière depuis, le jeter ou le donner. Je l’ai fait, ça fait mal sur le coup. Très mal parfois. On se trouve ignoble, parce qu’on focus sur le soin et l’attention que la personne a eus, même si le cadeau n’a pas fait tant plaisir. Mais après 2 ans, tout le monde s’en fout. Vraiment. Evidemment, on ne parle pas du tableau d’art à 5000 que votre mari vous a offert parce que cela lui rappelait votre rencontre.

Quand aux cadeaux d’obligation (on connait tous, ces trucs inutiles offerts à chaque fête par politesse par des gens qui ne savent pas ce qui vous fait plaisir…) , aucune pitié. Poubelle ou don. Le système de « l’étincelle de joie » au toucher ne ment pas. Si la vue d’un objet vous inspire quelque chose de désagréable, ou pas grand chose, bye bye. De plus, quel vrai ami voudrait que vous gardiez ses cadeaux par sentiment d’obligation… Les souvenirs de voyage des autres aussi (plus le temps passe, plus je trouve complètement décalé de ramener des babioles à 3 euros à autrui).

« Il ne faut pas se sentir coupable de jeter un cadeau. Soyez juste reconnaissant du plaisir éprouvé lorsqu’on vous l’a offert »

Ne pas refourguer

Ne pas refourguer à un proche les objets qu’on ne veut pas garder mais qu’on a pas le courage de jeter. C’est être irresponsable et mettre le poids sur quelqu’un d’autre (sauf s’il en a vraiment besoin).

Ranger par catégorie d’objets, pas par pièce

«Au lieu de ranger telle pièce, fixez-vous l’objectif de vous occuper des vêtements aujourd’hui, des livres demain… Nous stockons tous, une famille d’objets dans divers endroits de la maison : si nous procédons pièce par pièce, impossible d’avoir une idée du volume global. Amassez les vêtements, disposez-les à terre, par catégories (les hauts, les bas)… Les choses conservées hors de vue dorment. En les exposant, en les animant, vous trouverez mieux s’ils déclenchent une émotion en vous. »

Apprendre à plier :

Sûrement la partie du livre qui m’a le moins parlé. En effet, la vidéo de Marie Kondo mettant 1 minute pour plier une paire de chaussettes ou un t-shirt m’avait un peu refroidie. Mais bon, avec du skill, on le fait plus vite bien sûr, mais surtout, j’ai retenu un aspect qui était loin d’être inintéressant : plutôt que plier et empiler à l’horizontale les t-shirts et pantalons, les plier et ranger à la verticales, permettant ainsi de les situer d’un coup d’oeil et de les prendre sans tout renverser. Cette technique a été salvatrice à Paris, car j’avais beaucoup de tiroirs.

Maintenant ici, j’ai des grandes penderies, je suspends tout, c’est plus simple. Mais je fais toujours un effort avec la lingerie. Par contre, les chaussettes en boule, ce sera pour toujours… <3

 

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Intégrer le concept de pollution visuelle :

il s’agit d’être un radar, pour éviter que le bazar ne se remette en place insidieusement.  Là par exemple, j’écris sur le lit de ma chambre qui est plutôt zen, pleine de lumière, et dans laquelle nous avons mis peu de mobilier, par choix. Je regarde autour de moi, et je spot direct le potentiel bordel : une taie d’oreiller qui attend par terre de passer à la machine et qu’on oublie constamment, une bouteille d’eau vide sur la commode, une bougie finie qui traine, un sac plastique laissé dans un coin, un ruban qui traine par terre, un tas de fringues propres pas encore rangées… Accumulés, ces éléments de pollution visuelle, gênent le bien-être même s’ils sont peu nombreux. Et la pollution visuelle est un bruit, c’est ce qu’explique Marie Kondo. Cela nous dérange inconsciemment et nous empêche d’avoir l’esprit clair.

Ce que je garde de cette expérience :

Grâce à la méthode Konmari, j’ai pu changer de vie plus sereinement, vider l’ancienne pour commencer la nouvelle, en Nouvelle-Zélande. Sur l’immensité que j’ai dû trier, il restait 15m3, quelques meubles compris. Ces 15m3 valait le coup de faire le tour du monde par la mer, en 3 mois, pour m’accompagner en Nouvelle-Zélande. Et vous savez quoi ? Et bien c’était encore trop je trouve.

Je garde un dégoût total de la constatation de ce que j’avais accumulé au cours des années, et qui a fini donné ou la poubelle. Comment ai-je pu garder autant de choses? Une montagne d’objets, non, DES montagnes ! Des objets que j’ai trié un à un. Je ne regrette rien, cela m’a définitivement calmée : plus d’achat compulsifs, plus de frénésie de la déco, et je réfléchis vraiment avant d’acheter quelque chose maintenant. Je ne garde plus quelque chose parce que c’est mignon et que ce serait dommage de le jeter. Pour les fringues, j’ai établi un cycle, tous les ans environ je refais un tri et je choisis ce que je garde avec la méthode de Marie Kondo : « est-ce que ce vêtement allume encore une étincelle de joie en moi? », si c’est non, je donne.

Je vais être honnête : le fait d’être arrivés ici sans un rond a beaucoup aidé. Mais maintenant que ça re-rentre, je vais tout de même faire attention, car je suis vraiment capable de remplir facilement n’importe quelle taille de placard ou dressing.

 

Achète moins, choisis bien, fais le durer, comme dirait Vivienne Westwood

 

Avec le grand déséquilibre créé par le changement de vie et les aléas de la vie d’entrepreneur, je me suis facilement laissée aller. Notre premier logement ici était trop petit. Beaucoup de choses ont dû crécher au garage. Il y avait cependant beaucoup de rangement pour les livres qui m’ont suivi (la moitié des 15m3…), et cela a beaucoup aidé. Nous avions un joli petit intérieur, facile à ranger. Mais le dressing était problématique. J’ai beau avoir trié, 1 placard de 2,20m de large pour deux, c’est un cauchemar.

Maintenant nous avons déménagé dans une maison bien plus grande, chacun son espace vêtements, de l’espace, on respire enfin. Par contre, du fait des grandes surfaces vitrées, pas de rangement pour les livres et peu d’endroits pour caler des étagères. Il s’agit donc de redoubler d’astuce et d’avoir le bon oeil pour les caser ici et là. Je vais devoir aussi apprendre à jeter des livres, chose que je n’ai jamais pu faire. En effet, certains ne me sont plus d’utilité, d’autres, je les préfère en Kindle. Une amie bossant en bibliothèque m’avait un peu décoincée sur le sujet en m’expliquant que eux le faisait, et qu’il fallait bien. A Paris, je les avais offert à une bibliothèque solidaire. Ici, personne ne voudra de livres en français (quoique à voir).

Pour l’instant, 2 mois après aménagement, des tas de choses traînent encore partout, et ça m’étouffe. C’est donc pour moi et mon homme l’occasion de ressortir le livre, de s’y replonger pour recréer un intérieur agréable pour nous et autrui.

Conclusion :

Vous l’aurez compris, si vous vous y mettez, ça ne sera pas une partie de plaisir. C’est d’ailleurs sûrement pour ça que vous ne l’avez encore jamais fait ! Mais la récompense vaut le coup, vous serez, comme le dit Marie Kondo au début de son ouvrage, très étonné de constater jusqu’où peuvent aller les changements dans votre vie. Avec la méthode de Marie Kondo, on se trouve avec toutes les fringues de la maison en montagne sur le lit, à les trier une à une, à s’interroger sur les objets et nos émotions, sur ce que l’on veut vraiment, ça en fera criser certain(e)s, c’est sûr, mais le résultat en vaut la peine, car zen chez soi, zen dans sa tête. Vous découvrirez à quel point les objets qui ne sont plus là, étaient lourds dans votre vie pour diverses raisons, et inutiles. Vous comprendrez que vous n’en aviez pas besoin, que vous êtes plus forts et mieux sans. Vous ferez un ménage externe et interne. Vous profiterez de la vie différemment.

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